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... un particulier, qui a besoin d'un texte impeccable pour satisfaire différents besoins.

Illustration de Ludovic

Ludovic, 45 ans, écrivain en herbe


Ludovic a décidé de transformer son rêve en réalité. Il a quitté son emploi en comptabilité pour se dédier à l'écriture de cette drôle d'histoire qui lui trotte dans la tête depuis six ans. Une histoire qui prend tellement de place, qui est si vaste et complexe qu'elle se métamorphose en cinq volumineux romans. Et Ludovic a encore trois ou quatre autres histoires de ce genre à raconter.


Pourquoi rechercherait-il un correcteur ?


Les idées fusent, le clavier est en feu, les lettres s'assemblent. L'histoire est prête à être diffusée, le premier tome à être publié. Mais voilà, Ludovic sait que son orthographe n'est pas parfaite et qu'il fait des fautes d'accord et de conjugaison. Et il sait surtout que les maisons d'édition n'acceptent pas toujours les manuscrits plein de fautes, même lorsqu'elles emploient des correcteurs. Or, Ludovic veut être publié, notamment de manière classique par le biais de maisons d'édition déjà bien implantées.


Comment Ludovic nous trouverait-il ?


Ludovic vit dans la Bretagne française, dans le Morbihan. Aussi, il tape sur son moteur de recherche « correcteur livre Morbihan » et nous apparaissons rapidement, car La Maison Sauron est une entreprise de relecture-correction de textes basée dans le Morbihan. Il parcourt les pages de notre site internet, et il constate que nous avons déjà travaillé avec des auteurs et une maison d'édition. Alors il se dit « et pourquoi pas ? ».

Ludivine, 27 ans, doctorante


Ludivine est étudiante-chercheuse en psychologie, et s'apprête à présenter sa thèse devant un jury pour valider sa formation. Après son bac littéraire, elle a décidé de se former en psychologie comportementale pour aider les enfants traversant des périodes de troubles.


Pourquoi rechercherait-elle un correcteur ?


Après des années de recherches documentées, compulsées et analysées, la thèse est enfin terminée. Le règlement intérieur de l'établissement autorise un tiers à intervenir sur ce précieux document, et l'étudiante est certaine de la qualité de sa rédaction. Seulement, Ludivine est consciente qu'elle est trop habituée à son texte, et donc qu'elle s'est désensibilisée de toute erreur de français ou de faute de frappe. Or, elle tient à réussir son année et obtenir son diplôme, puisque sa thèse sera lue et publiée, et possiblement utilisée par d'autres confrères chercheurs. Il faut donc que tout soit parfait.


Comment Ludivine nous trouverait-elle ?


Ludivine vit en Suisse, et n'est pas familière des sites internets français. Cependant, elle sait que les freelances peuvent être accessibles à l'international, alors elle se rend sur des plateformes connues telles que Fiverr ou Malt. C'est là qu'entre deux offres au tarif faible et figé sur un nombre de mots, elle trouve notre profil. La Maison Sauron se vend comme une entreprise française de relecture-correction préférant mettre l'accent sur la qualité du texte rendu. Quant au tarif, qui est horaire, il s'adapte à la difficulté des écrits étudiés, et en plus il y a une réduction pour les étudiants. La voilà séduite par l'idée.

Illustration de Ludivine
Illustration de Bob

Bob, 33 ans, physicien


Bob est curieux, et veut comprendre le fonctionnement de l'Univers. Il a pulvérisé tous les contrôles de physique théorique au lycée, et a choisi de se spécialiser en physique des particules auprès d'un grand institut de recherche. À force de cogiter, le voilà qui a une illumination soudaine en comparant les propriétés chimiques de deux isotopes. Une révélation potentiellement apte à révolutionner la physique connue.


Pourquoi rechercherait-il un correcteur ?


Bob a revérifié ses calculs et ses assertions une quarantaine de fois. Il est sûr de lui, il tient là une découverte qui lui assurerait un prix Nobel, rien que ça. Mais Bob est un adepte des prises de notes et de formules mathématiques complexes, et il n'a pas l'âme d'un grand littéraire. Écrire l'ennuie, et rendre son papier compréhensible pour la majorité est pour lui une plaie. Ça lui arrive de faire des fautes, et il ne s'en formalise pas. Pourtant, il sait que pour être sérieux et clair auprès de ses pairs, il faut publier un papier tout aussi sérieux et clair, et les règles de la langue française ne font pas exception.


Comment Bob nous trouverait-il ?


Bob vit à Paris, en plein centre de la capitale. Pour ne pas avoir à payer une fortune en correction, il préfère demander à ChatGPT de lui trouver des correcteurs indépendants travaillant chez eux et qui pourraient être intéressés par un projet scientifique. Cette IA, configurée comme un assistant personnel, lui propose des groupements de correcteurs académiques, d'autres professionnels expérimentés et même de nouveaux arrivants sur le marché, qui souhaiteraient travailler sur des projets de nature scientifique, dont La Maison Sauron. Ce nom l'intrigue, et en comparant les tarifs, Bob décide de contacter cette entreprise, ne serait-ce que pour voir si cette entreprise serait intéressée, mais aussi capable, de supporter un tel sésame.

Josette, 65 ans, retraitée


Josette a été dentiste toute sa vie. Mais ça, c'était avant. Maintenant qu'elle a atteint l'âge légal de départ en retraite, elle en profite. Ou profitait plutôt, car après quelques mois, elle s'ennuie et ne sait pas quoi faire de ses journées. Alors, avide de rencontres et de débats instructifs, elle décide de participer à des séminaires auprès de jeunes confrères, pour confronter ses idées et ses méthodes « à l'ancienne » avec celles des nouveaux praticiens, mais aussi pour rester informée et en mouvement.


Pourquoi rechercherait-elle un correcteur ?


Josette est quelqu'un qui appelle beaucoup, écrit souvent des lettres et même envoie des e-mails. Elle aime aussi se préparer des discours, pour structurer ses pensées et ses argumentaires, en particulier lorsqu'elle organise des ateliers ou anime des discussions. Seulement, elle reçoit parfois des commentaires désobligeants sur son écriture, car les gens qui la lisent trouvent son phrasé lourd et pénible, ou bien parce qu'elle fait des erreurs de français aussi grosses que sa carrière a été longue. Au bout d'un moment, elle prend la décision de se faire relire par des professionnels, à défaut de ses proches qui n'ont pas toujours le temps.


Comment Josette nous trouverait-elle ?


Josette est une personne nomade, vivant à Marseille mais se déplaçant dans tout le pays pour se rendre là où elle le souhaite, entre séminaires, rencontres ou tout simplement voyages. Au cours de ses pérégrinations, la retraitée discute avec un groupe de personnes dans la rue, et elle finit par parler de son problème. Et il se trouve que parmi ces personnes, l'une d'entre elle est un auteur amateur, et qu'il a fait corriger son livre par La Maison Sauron. Ayant été satisfait des services de cette entreprise, il propose à Josette de contacter ce relecteur-correcteur, qui pourrait certainement l'aider à vérifier ses lettres et discours.

Illustration de Bob

... une professionnelle, qui ambitionne de devenir importante et qui a donc besoin de textes irréprochables.

Illustration de Ludivine

Amaury, 28 ans, journaliste d'investigation


Amaury a longtemps critiqué un grand nombre de journalistes, leur travail ou encore le journal qui les employait. Parfois les trois en même temps. Puis un jour, il en a eu marre. Il s'est décidé à en devenir un, par orgueil, pensant pouvoir redorer le blason de cette profession à lui tout seul. Après tout, chacun est le héros de sa propre histoire, pas vrai ?


Pourquoi rechercherait-il un correcteur ?


La majorité de ses interventions sont réalisées devant caméra, en direct, depuis des lieux où il se passe des évènements improbables. Seulement, il a entendu parler d'une affaire, qui s'étouffe dans l'ombre du silence depuis des années. À force de gratter la surface, il finit par dénicher une mine d'informations explosives, qui fera flamber les chaînes d'informations pendant des semaines. Il couche tout ce qu'il trouve sur papier, rapidement, mais il ne peut pas l'envoyer maintenant. Il s'est à peine relu, et il doit faire honneur à sa profession : aucune faute n'est permise, surtout sur un aussi gros dossier.


Comment Amaury nous trouverait-il ?


Amaury est un Breton pure souche, qui réside là où se tient le plus grand festival celte du moment. Mais comme c'est un homme qui veut se faire discret, il préfère aller à la rencontre directe de ses interlocuteurs plutôt que de laisser des traces par internet en écrivant des e-mails. Internet lui dit que La Maison Sauron est l'entreprise de correction la plus proche de chez lui, qui en plus n'est située qu'à quelques arrêts de bus de là : facile. Après un premier contact, le courant passe bien et en plus la confidentialité est assurée, de quoi assurer un partenariat professionnel stable avec sa structure journalistique. C'est tout bénef.

Françoise, 35 ans, gérante d'une nouvelle maison d'édition


Françoise s'est dit qu'aucune maison d'édition à son goût ne se spécialisait dans les histoires romantiques, sensuelles ou plus, et que les écrivains voulant partager de telles histoires ont du mal à trouver chaussure à leur pied. Qu'à cela ne tienne, Françoise a décidé de créer sa propre structure, spécialisée sur ce sujet, avec ses propres règles et son propre système de rémunération, plus profitable pour les auteurs et autrices de textes forts en amour.


Pourquoi rechercherait-elle un correcteur ?


Françoise est une personne très occupée : conventions, salons du livre, prospections et annonces... Il faut se faire connaître, nouer des partenariats, trouver les professionnels de papier et d'imprimerie... Tout cela prend du temps et de l'énergie, et ça paie ; les manuscrits pleuvent, et Françoise est ravie. Seulement, elle n'a pas de temps à perdre à corriger elle-même les textes qu'elle reçoit, elle a bien trop de rendez-vous et de projets. Il lui faut au moins un professionnel de la correction, qui puisse rendre ces manuscrits imprimables, car Françoise refuse de voir le nom de sa maison d'édition associé à des textes parfois incompréhensibles.


Comment Françoise nous trouverait-elle ?


Françoise fait souvent la navette entre Paris et Lyon, et a beaucoup de contacts dans le milieu littéraire. Aussi, pour trouver le ou les correcteurs qu'elle peut contacter, elle a écumé des dizaines de pages internets mentionnant « relecture-correction », « correction roman », « relecture livre » et bien d'autres mots-clés similaires, jusqu'à tomber sur notre site internet. Pour effectuer des comparatifs avec d'autres professionnels de la correction, il n'y a rien de mieux à ses yeux qu'envoyer un message pour demander des renseignements complémentaires, et voir si une collaboration professionnelle peut tenir la route.

Illustration de Françoise
Illustration de Ludivine

Danielle, 51 ans, secrétaire de mairie (service public)


Danielle travaille à la mairie depuis dix ans. Elle apprécie le contact avec les administrés, et remplit son rôle comme il faut. Mais voilà, depuis qu'un nouveau secrétaire a été recruté pour l'épauler dans son travail, et que le maire a eu l'idée d'organiser des réunions citoyennes, les compte rendus s'enchaînent. De même que les évènements et les e-mails à envoyer à droite à gauche. Or, ils ne sont souvent pas d'accord entre eux sur la façon de rédiger des messages, d'écrire certains mots ou de bien présenter d'autres documents.


Pourquoi rechercherait-elle un correcteur ?


Plutôt que de s'écharper continuellement avec son collègue, Danielle émet l'idée de recourir aux services d'une troisième personne, neutre, dont c'est le métier. Il n'y aurait alors ni jugement ni dispute, et le document ainsi que les conseils obtenus par un professionnel ne pourraient que mettre les deux secrétaires d'accord. En outre, avec des documents rédigés proprement, la mairie en sortirait gagnante.


Comment Danielle nous trouverait-elle ?


Les deux secrétaires partent en quête d'un relecteur-correcteur professionnel. Grâce à l'un des meilleurs réseaux de connaissances qui soit, et en postant des affiches un peu partout dans la commune, l'annonce des secrétaires de mairie parvient à attirer l'attention du gérant de La Maison Sauron et de ses voisins. Poussé par la volonté de se rendre utile à la mairie du coin, c'est alors lui qui prend contact, en tant que relecteur-correcteur professionnel.

Charlie, 25 ans, micro-entrepreneur·e


Charlie fait très bien son travail, et c'est pourquoi sa licence professionnelle lui est tombée dans les mains. Parce qu'être son propre boss quand on a du talent, c'est bien, il ne restait plus qu'à créer sa propre structure. Maintenant que c'est chose faite, la concurrence est rude. Il faut se démarquer. Or, sortir du lot à cause de sa dyslexie n'est pas nécessairement une bonne idée, surtout lorsqu'on perd espoir à cause des avis négatifs sur une communication internet jugée « à l'arrache » et qu'on ne fournit plus vraiment d'efforts.


Pourquoi Charlie rechercherait un correcteur ?


Charlie veut reprendre du poil de la bête et travailler à nouveau sur des projets encourageants, mais il faut pour cela reprendre chaque page de son site internet, qui contient malheureusement des fautes lourdes dans les textes les plus critiques. Pour ne pas se démoraliser davantage, Charlie décide de trouver quelqu'un pour s'en occuper. Il n'y aurait alors plus qu'à prendre les appels, bloquer des rendez-vous et se rendre chez les clients. Le travail serait à nouveau à portée de main !


Comment Charlie pourrait nous trouver ?


Internet constitue une mine d'or lorsqu'on veut trouver quelque chose, ou quelqu'un. Avec des mots-clefs bien choisis, Charlie décide de partir en chasse de toute entreprise capable de corriger un site internet. Les premiers résultats correspondraient bien, mais les sites internets dénichés sont très avares en détails, ou bien très rigides sur la langue française. Puis, en tombant sur notre site internet, Charlie découvre un usage modéré de la réforme de 1990 sur la langue française, et même sur le discours inclusif. Ces deux arguments, qui lui tiennent à cœur, poussent Charlie à cliquer sur la page « Contact » de La Maison Sauron.

Illustration de Françoise
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